Quand « Le Parisien » et « L’Express » confondent médecin acupuncteur et acupuncteur non-médecin

 


L’essentiel

1.      Clarification des rôles : une distinction est clairement établie entre les médecins acupuncteurs et les acupuncteurs non-médecins, soulignant que l'acupuncture est une discipline médicale pratiquée uniquement par des professionnels de santé qualifiés.

2.      Critique des médias : Le texte critique les articles de "Le Parisien" et "L'Express" pour avoir associé l'acupuncture à des pratiques non scientifiques, contribuant ainsi à la désinformation.

3.      Preuves scientifiques : Il est mis en avant les preuves scientifiques soutenant l'efficacité de l'acupuncture, avec des milliers d'essais contrôlés randomisés et de méta-analyses.

4.      Sécurité et efficacité : Il est affirmé que l'acupuncture est une pratique sûre et efficace, qui ne doit pas être confondue avec d'autres médecines douces ou non conventionnelles.

5.      Réponse aux critiques : Il est répondu aux critiques en fournissant des données de preuves scientifiques et en soulignant les erreurs du Ministère de la Santé concernant l'acupuncture.

Ces points forts contribuent à renforcer la crédibilité de l'acupuncture en tant que discipline médicale et à lutter contre la désinformation.

         


Le 14 février 2024, paraissait dans le quotidien "Le Parisien" un article intitulé : " Ostéopathie, chiropractie... l’Assurance maladie rembourse-t-elle vraiment des soins non conventionnels ?" [[1]]. Le SNMAF en association avec le Conseil National Professionnel des Médecins Acupuncteurs qui regroupe l’ensemble des instances représentatives de l’acupuncture médicale (Collège Français d’Acupuncture, Fédération des Acupuncteurs pour leur Formation Médicale Continue, Syndicat National des Médecins Acupuncteurs de France, Collège des Enseignants Francophones de l’Acupuncture Médicale) avait dénoncé l’amalgame de l’acupuncture à la médecine douce, à la médecine alternative, aux médecines parallèles, à l’ostéopathie, à la chiropractie, à l’hypnose, à la luminothérapie de bas niveau, etc.. [[2]]. Depuis de nombreuses années, le SNMAF ne cesse de dénoncer cette association [[3]]. L'acupuncture est une discipline médicale uniquement pratiquée par des médecins, et sages-femmes, chirurgiens-dentistes, vétérinaires chacun dans leur domaine d’activité et ne peut et ne doit en aucun cas être associée à d’autres disciplines d’interventions non médicamenteuses.  

On pensait l’affaire close et comprise par les journalistes !

Dénoncer sans cesse les faux amalgames autour de l’acupuncture

Or le responsable de la rubrique santé, Tanguy de l'Espinay, toujours dans le quotidien « Le Parisien » introduit par son édito au titre accrocheur de « Chimio ou noix de coco ? [[4]], l’enquête de Nicolas Berrod : « On peine parfois à y croire : face au cancer, gare aux charlatans » [[5]]. En effet, comme il le signale, c’est « un sujet à traiter avec une infinie délicatesse » car nombreux sont les Français à avoir recours, face au cancer, aux Pratiques de Soins Non Conventionnelles (PSNC).

Et ils ont tout à fait raison de signaler que l’on ne doit en aucun cas renoncer à la chimiothérapie par exemple. Cependant, et c’est là que le bât blesse, c’est quand le journaliste met dans le même panier : « Coupeur de feu, acupuncteur, magnétiseur… » [5]. Vous remarquerez qu'en fait, ils ne parlent pas du tout de médecin acupuncteur mais d'acupuncteur (les non-médecins !). Mais il est clair que cette phrase où l’acupuncteur est associé au coupeur de feu et au magnétiseur va totalement desservir l’acupuncture.

Pourtant, le même journaliste parle du nouveau référentiel des pratiques « interventions non médicamenteuses, validées par la science » en interviewant le Président de la Non-Pharmacological Intervention Society (NPIS) [[6]].

Mais cela nuit encore une fois à l’acupuncture car celle-ci selon le NPIS fait partie de ces interventions non médicamenteuses, retrouvée dans leur liste : « Activité physique, acupression, acupuncture, application de chaleur ou de froid, aquathérapie, art thérapie, biofeeback, coaching familial, coaching individuel, conditionnement psychologique,  désensibilisation, éducation thérapeutique, ergothérapie, hortithérapie, hypnose, kinésithérapie, lotions de massage, méditation, musicothérapie, posturologie, présence d’un compagnon, soutien psychosocial, stimulation nerveuse électrique transcutanée, thérapie de confort, thérapie par le théâtre, thérapie psychosociale, tonification et renforcement, yoga » [[7]].

Et à nouveau le journal « Le Parisien », toujours sous la plume du même journaliste enfonçait le clou dans un nouvel article intitulé « Médecines douces, le bon filon des mutuelles » où l’on pouvait lire : « Naturopathie, ostéopathie, acupuncture, mésothérapie... Les complémentaires santé préfèrent parler de « médecines douces ». Le fond de l’article semble tout à fait juste en regard des chiffres où l’on s’aperçoit que 70% des prestations de « médecine douce » sont remboursées pour l’ostéopathie avec un montant d’un milliard d’euros de remboursement de ces médecines par les mutuelles en 2022 [[8]].

Mais encore une fois, l’acupuncture est amalgamée à des interventions n’ayant jamais fait preuve d’efficacité scientifique.

A tout cela s’ajoute dans la revue « L’Express » [[9]], une tribune au titre tapageur : « Non au remboursement des pseudothérapies : l'appel de soignants pour une santé fondée sur les preuves » avec de nouveau une photo d’une femme avec trois longues aiguilles plantées dans son épaule droite [[10]].

Cette tribune met en exergue le fait que l’Éducation nationale vient de signer un contrat avec la MGEN et CNP assurance qui prévoit la prise en charge de pratiques de soins non conventionnelles [[11]]. Et « L’Express » de s’insurger qu’à partir de 2026, les agents de l'Éducation nationale devront cotiser à une complémentaire couvrant les "médecines douces" et qualifiant ce fait d’aberration alors que l'Etat prétend lutter contre la désinformation en santé. L’article note que : « Ce contrat, conformément à l’arrêté ministériel qui met en application la loi et fixe les garanties, nous alerte, car il prévoit la prise en charge de pratiques de soins non conventionnelles (homéopathie, ostéopathie, acupuncture, naturopathie, chiropraxie, sophrologie...). Pratiques qui, selon le ministère de la Santé lui-même [[12]], n'ont le plus souvent "pas fait l’objet d’études scientifiques ou cliniques montrant leurs modalités d’action, leurs effets, leur efficacité, ainsi que leur non-dangerosité”. ». Certes ils n’ont pas tort concernant la plupart de ces pratiques, mais si les représentants de ce collectif signant dans « L’Express » étaient allés au bout des choses, ils auraient pu constater que le Ministère de la Santé lui-même fait des erreurs monumentales. En effet, par exemple, il note : « Ostéopathie, chiropraxie, hypnose, mésothérapie, auriculothérapie, acupuncture…Tous ces termes désignent des pratiques de soins dites non conventionnelles (PSNC). Parfois appelées « médecines alternatives », « médecines complémentaires », « médecines naturelles », ou encore « médecines douces », ces pratiques sont diverses, tant par les techniques qu’elles emploient que par les fondements théoriques qu’elles invoquent. Leur point commun est qu’elles ne sont ni reconnues, au plan scientifique, par la médecine conventionnelle, ni enseignées au cours de la formation initiale des professionnels de santé. ». Or, comme vous le savez, l’acupuncture est la seule de ces PSNC, comme ils aiment bien le dire, à être enseignée justement dans le cadre de la formation initiale au programme de l'enseignement du deuxième cycle depuis 2021 dans l’item 327 de thérapeutique « Utilité et risques des Interventions Non Médicamenteuses (INM) et des Thérapies Complémentaires (Thc) [[13],[14],[15]]. La Capacité d’Acupuncture, diplôme d’État délivré au sein des Universités – UFR de Médecine permettra ensuite l’exercice légal de l’Acupuncture.

Une désinformation qui continue de nuire à l’acupuncture

Plus loin, toujours dans l’article de « L’Express », est citée la Miviludes rapportant des signalements en hausse concernant les dérives sectaires [[16]]. Même chose, s’ils avaient étudié ce rapport plus en détail, ils auraient constaté que la Miviludes mettait en exergue les travaux de Stéphanie Träger, oncologue et médecin de soins palliatifs [[17],[18]]. Dans ces deux publications, elle y décrit un recours massif (jusqu’à 90 % en phase palliative) aux PSNC et alerte sur leurs risques (toxicité, effets secondaires, interactions, ruptures ou retards de prise en charge) et y préconisait l’intégration du praticien non conventionnel dans l’équipe oncologique de support pour éviter qu’il ne devienne le seul soignant et limiter les dérives. Ce qui va dans notre sens, du simple fait qu’une équipe de médecins acupuncteurs [[19]] avec à la direction, justement le Dr Stéphanie Träger et le Dr Henri Truong, médecin acupuncteur ont présenté les dernières recommandations de l'AFSOS mises à jour, concernant l’utilisation de l’acupuncture en soins de support [[20]]. Même le Conseil National de l’Ordre des Médecins, en juillet 2023, a fait le point sur les dérives liées aux PSNC et un rapport de 88 pages concernant l’état des lieux et les propositions d’action sur ces pratiques de soins a été publié [[21]].

Bref le SNMAF le répète : l’acupuncture est une discipline médicale exercée par des médecins ou autres professions médicales selon leur compétence. Elle ne doit en aucun cas être assimilée à ces « médecines douces » et faire partie intégrante des INM ou des PSNC [[22]] qui bien souvent sont exercées par des non-médecins, en particulier des acupuncteurs non-médecins.

Notons enfin qu’en ce qui concerne les données de preuves scientifiques qui pour ces journaux semblent ne pas exister, il serait bon de leur signaler que l’on recense 6504 essais contrôlés randomisés (ECR) et 2866 méta-analyses, revues systématiques et recommandations en date du 18/06/2025. Ces données ont été réalisées à partir du moteur de recherche PubMed. Les descripteurs MeSH (Medical Subject heading) suivants ont été utilisés : (acupuncture OR electroacupuncture OR moxibustion OR acupressure) avec l’application du filtre « Humans » et d’une fenêtre de durée comprise entre 1990 et le 18/06/2025.

Des données de preuves scientifiques encore trop souvent ignorées

En comparaison, pour l’ostéopathie, le niveau de preuves est bien plus faible avec selon les mêmes dates : 591 ECR, 758 méta-analyses avec le descripteur « osteopathic » et les filtres suivants appliqués : « Guideline, Meta-Analysis, Systematic Review, Humans ».

Toutes ces méta-analyses et ECR ne signifient pas une efficacité de l’acupuncture et techniques associées mais objectivent le nombre important des études cliniques scientifiques. Ainsi Hempen et coll. dans une revue de méta-analyses et de revues systématiques parue en mai 2025, mettent en évidence que l’acupuncture a montré des preuves d’efficacité pour dix pathologies [[23]]. Dans la plupart des cent-soixante-quatorze indications médicales restantes, l’acupuncture a des effets bénéfiques, mais aucun effet dans six d’entre elles. Et de conclure que dans l’ensemble, l’acupuncture est un traitement sûr et doit être envisagée pour une grande variété de conditions médicales non négligeable [[24]]. A cela on peut ajouter que l’acupuncture expérimentale va dans le même sens d’efficacité où il est démontré dans un article paru aussi en mai 2025 que l’administration de nanovaccins (NV) dans les points d’acupuncture peut provoquer un amorçage immunologique engendrant une réponse immunitaire renforcée, qui optimiserait la vaccination thérapeutique en oncologie et en infectiologie [[25]]. Dans son article, Johan Nguyen commente d’ailleurs cet article : «… l’acupuncture elle-même, objet d’une disqualification systématique de la part des militants nofakemed, dénoncée comme pseudo-médecine sous-tendue par des croyances exotiques anciennes et l'effet placebo… les nofakemed l’érigent en emblème des pratiques infondées et irrationnelles à exclure du champ médical… » [[26]].

Bref, vous avez compris que nous sommes face à ce qu'on appelle un rasoir de Hanlon, règle qui s'énonce ainsi :  " Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la bêtise suffit à expliquer.". Et dans notre cas précis, vouloir mettre absolument dans le même sac, médecin acupuncteur et acupuncteur non-médecin.

 

[1]. Berrod N. Ostéopathie, chiropractie... l’Assurance maladie rembourse-t-elle vraiment des soins non conventionnels ? Le

Parisien. [Publié le 14/02/2024]. [Consulté le 13/06/2025]. Disponible à l’URL:  https://www.leparisien.fr/societe/sante/osteopathie-chiropractie-lassurance-maladie-rembourse-t-elle-vraiment-des-soins-non-conventionnels-14-02-2024-XT7SPTPZ2RD65JU3T2RUPGLJBE.php

[2]. Stéphan JM. Encore et toujours de la désinformation ! Bulletin n°35 du SNMAF Juin 2024. [Publié le 24/02/2024]. [Consulté le 13/06/2025]. Disponible à l’URL : https://www.meridiens.org/acumedsyn.org/index.php/home/encore-de-la-desinformation

[3]. Stéphan JM. Point sur les pratiques de soins non conventionnelles. Bulletin du SNMAF n°34. Novembre 2023. [Publié le 27/10/2023]. [Consulté le 13/06/2025]. Disponible à l’URL: https://www.meridiens.org/acumedsyn.org/index.php/les-bulletins-du-snmaf/bulletin-n-34-snmaf-novembre-2023.

[4]. De l’Espinay T. Chimio ou noix de coco ? Le Parisien [Publié le 12/12/2024]. [Consulté le 19/12/2024]. Disponible à l’URL : https://www.leparisien.fr/societe/sante/chimio-ou-noix-de-coco-12-12-2024-6K44FAVX7NCPVFTG5ZG3WVPC64.php

[5]. Berrod N. On peine parfois à y croire » : face au cancer, gare aux charlatans. Le Parisien. [Publié le 12/12/2024].  [Consulté le 13/06/2025]. Disponible à l’URL : https://www.leparisien.fr/societe/sante/on-peine-parfois-a-y-croire-face-au-cancer-gare-aux-charlatans-12-12-2024-TN72G74GJJG7NCHLHVUY66ZIRA.php

[6]. Berrod N. Contre le cancer, un nouveau guide des pratiques « validées » : « Il y a beaucoup d’abus et d’emprises ». Le Parisien. [Publié le 12/12/2024]. [Consulté le 13/06/2025]. Disponible à l’URL: https://www.leparisien.fr/societe/sante/contre-le-cancer-un-nouveau-guide-des-pratiques-validees-il-y-a-beaucoup-dabus-et-demprises-12-12-2024-JDZ2OS2UIBAOBLIBUILJN3FCIY.php

[7]. Non-Pharmacological Intervention Society. NPIS Guidelines. INM interventions non médicamenteuses. [Publié octobre 2024]. [Consulté le 13/06/2025]. Disponible à l’URL:  https://www.referentielinm.org/uploads/pdf/NPIS-Guidelines-FR-oct-2024.pdf.

[8]. Berrod N. Médecines douces, le bon filon des mutuelles. Le Parisien. N°25019. [Publié le 31/01/2025]. [Consulté le 13/06/2025]. Disponible à l’URL:  https://www.leparisien.fr/societe/sante/naturopathie-mesotherapie-luminotherapie-le-bon-filon-des-medecines-douces-pour-les-mutuelles-31-01-2025-U5G2WPUNLFC7DAXVZZ5OYMZ2FU.php

[9]. Tribune signée par le « collectif de soignants et d’experts » qui regroupe des institutions et associations (Collectif No Fakemed ; Conseil national de l'ordre des masseurs-kinésithérapeutes ; Conseil national de l'Ordre des Sages Femmes ; Conseil national de l'Ordre des pédicures-podologues ; Collectif "Vaccins France informations & discussions" ; Collectif Chanology France ; syndicat ReAGJIR), ainsi que des signataires à titre individuel (dont nombreux sont ceux qui ne sont pas médecins, comme ingénieur, docteur en sciences, professeur de mathématiques en collège, ancien ostéopathe, étudiant en médecine et en santé publique, infirmier, enseignante, militante contre les dérives scolaires, masseurs kinésithérapeutes, etc, etc..).

[10]. Collectif de soignants et d'experts. Non au remboursement des pseudothérapies : l'appel de soignants pour une santé fondée sur les preuves. L’Express. [Publié le 05/05/2025]. [Consulté le 13/06/2025]. Disponible à l’URL : https://www.lexpress.fr/sciences-sante/non-au-remboursement-des-pseudotherapies-lappel-de-soignants-pour-une-sante-fondee-sur-les-preuves-7GAQGJF72VCOTFUZVPRJHXJZSI/

[11]. La MGEN (Mutuelle Générale de l'Éducation Nationale) et CNP Assurances ont récemment remporté un appel d’offre majeur lancé par le ministère de l’Éducation nationale. Ce contrat, qui entrera en vigueur en avril 2026, concerne la mise en place d’une protection sociale complémentaire obligatoire pour environ 3 millions de personnes, dont 1,4 million d’agents publics et leurs ayants droit. Ce contrat collectif souscrit par l’Éducation nationale est considéré comme le plus important jamais signé en France dans ce domaine et les agents seront affiliés automatiquement.

[12]. Ministère du travail, de la santé, des solidarités et des familles.  Les pratiques de soins non conventionnelles Médecines complémentaires / alternatives / naturelles. [Publié le 06/09/2024]. [Consulté le 20/06/2025]. Disponible à l’URL: https://sante.gouv.fr/soins-et-maladies/qualite-securite-et-pertinence-des-soins/securite-des-prises-en-charge/article/les-pratiques-de-soins-non-conventionnelles.

[13]. MedG.fr, “327 : Principes de la médecine intégrative, utilité et risques des interventions non médicamenteuses et des thérapies complémentaires,”. [Consulté le 20 juin 2025]. Disponible à l’URL : https://www.medg.fr/items-r2c/327-principes-de-la-medecine-integrative-utilite-et-risques-des-interventions-non-medicamenteuses-et-des-therapies-complementaires/

[14]. Nexternat – UE10 (Items 321 à 330), sommaire et références des supports thématiques. [Consulté le 20 juin 2025]. Disponible à l’URL :  https://nexternat.fr/externat/liste-des-items/ue10/

[15]. CUMIC (Collège des Universités en Médecine Intégrative et Complémentaire) – Nizard J., Cohen M., Bourdon A. Item 327 de la R2C : utilité et risques des INM et des ThC. Document de référence, CUMIC, 2024. [Consulté le 20/06/2025]. Disponible à l’URL: https://www.cumic.fr/_files/ugd/953fc0_da77198061ce45a0ba8e651ffb6f9c1d.pdf.

[16]. MIVILUDES (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires). Rapport d’activité 2022-2024 : des signalements en hausse. [Publié le 8 avril 2025]. [Consulté le 20/06/2025]. Disponible à l’URL:  https://www.miviludes.interieur.gouv.fr/publications-de-la-miviludes/rapports-annuels.

[17]. Träger S. Place des thérapies complémentaires dans les soins oncologiques de support. Revue Jusqu’à la Mort. 2016 ;125:11-16.  

[18]. Träger S. Que penser des pratiques non conventionnelles dans la prise en charge des cancers ? La Revue du Praticien. 2020;70(3):252-256.

[19]. Les membres du groupe de travail : Céline BAGNAUD, médecin acupuncteur, Clermont-Ferrand ; Sylvie BIDON, médecin acupuncteur, Rouen ; Jennifer DENIS, oncologue acupunctrice, Paris ; Caroline GUERY, médecin réanimateur, Roubaix ; Emmanuelle KEMPF, oncologue médical, Créteil ; Céline LAOUISSET, médecin soins de support, Paris ; Bénédicte MASTROIANNI, oncologue médical, Lyon ; Guillaume NGUYEN, médecin acupuncteur, Aytré ; Pascale RIVERA, oncologue médical, Toulouse ; Jean-Marc STEPHAN, médecin acupuncteur, Haveluy ; Eliane TANG, médecin acupuncteur, Neuilly sur Seine.

[20]. AFSOS. Référentiels en Soins Oncologiques de Support. L’acupuncture en onco-hématologie. AFSOS. 13 décembre 2024. [Consulté le 20/06/2025], Disponible à l’URL: https://www.afsos.org/fiche-referentiel/lacupuncture-onco-hematologie/

[21].  CNOM. Section Santé publique, présidée par le Dr Claire Siret. Les pratiques de soins non conventionnelles et leurs dérives. État des lieux et propositions d’actions. [Publié en juin 2023]. [Consulté le 27/10/2024]. Disponible à l’URL: https://www.conseil-national.medecin.fr/sites/default/files/external-package/rapport/4xh6th/cnom_psnc.pdf.

[22]. Stéphan JM.   Point sur les pratiques de soins non conventionnelles. Bulletin n°34 SNMAF novembre 2023.  [Publié 27 octobre 2023]. [Consulté le 13/06/2025]. Disponible à l’URL: https://www.meridiens.org/acumedsyn.org/index.php/home/point-sur-les-pratiques-de-soins-non-conventionnelles. 

[23]. Les dix pathologies objectivant des preuves d’efficacité : douleur chronique, lombalgie, gonarthrose avec gonalgie, nausées et vomissements postopératoires (PONV), migraine, céphalées de tension, fatigue liée au cancer, symptômes de la ménopause, infertilité féminine (en complément du traitement médical de la reproduction), prostatite chronique/syndrome de douleur pelvienne chronique chez les hommes.

[24]. Hempen M, Hummelsberger J. The state of evidence in acupuncture: A review of metaanalyses and systematic reviews of acupuncture evidence (update 2017-2022). Complement Ther Med. 2025 May;89:103149. doi: 10.1016/j.ctim.2025.103149.

[25]. Wang L, Sun Y, Yan M, Wang L, Wang Y, Zhang M, Li Q, Wu H, Liu J, Fan C. Eliciting Dual-Niche Immunological Priming by Acupoint Delivery of Nanovaccines. Nanomicro Lett. 2025 May 28;17(1):280. doi: 10.1007/s40820-025-01789-y.

[26]. Nguyen J. Nano-vaccination au point d’acupuncture : vers une cartographie des sites d’injection optimaux ? [Publié le 14/06/2025]. [Consulté le 14/06/2025]. Disponible à l’URL: https://gera.fr/nano-vaccination-au-point-dacupuncture/

 

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